Eu sempre me perguntei o que tem na cabeça deste povo que começa um filme e não termina, digo, começa mesmo, ou melhor, faz ate o meio, tipo; todo processo de filmagem, ou pelo menos grande parte dele, e não fecha o projeto. Aqui no Brasil conhecemos muitos casos assim, mas na verdade a maioria relacionada a comodidade e amadorismo mesmo. Claro que existem alguns casos de falta de financiamento, ou má gestão os recursos como foi o caso do filme "CHATÔ", que reza a lenda ficou pronto (Embora ninguém tenha visto ainda) depois de uma longa jornada de má gestão de recursos públicos, por uma obra, no mímimo de resultados artísticos e comerciais duvidosos, embora supostamente bem intencionado. Outros casos, é falta de recurso puro e simples, outros, como este em especial, são mais como bons vinhos, que devem demorar seu tempo, o tempo necessário para maturação e acentamento. Claro, que não é produzido com recurso público, neste caso, nós mesmos arcamos com as consequancias, fazer o que?! Algumas obras de arte (pode-se dizer assim) tem vida própria, que vão além de nosso controle. Este é o preço que se paga ao se buscar um cinema loucamente autoral, e que vai contra algumas regras vigentes na sociedade e mesmo no meio cimenatográfico.
Depois das diversas versões de Anjos no cinema, e partindo de inspirações como Wim Wenders, em Assas do Desejo, e Tão Longe Tão Perto, eis que surge a figura celestial mais cruel e amorosa de toda a história religiosa e/ou alternativa: Easy é seu nome, ela é uma viciada em Drogas e se vende nos becos escuros e contruções abandonadas de lisboa em troca de uns trocados para manter seu vício. Humilhada e explorada ao extremo, sua figura frágil e desarmada é o estopim motivador de agressividade e repulsa em seus algozes (clientes e moradores da vizinhança), revelando o que cada um tem de pior. Neste ponto se aproximando (flertando) com outra obra cinematográfica "Dogvile". O que nenhum deles (clientes e amigos) podia prever é que sua miséria como povo ignorante, sem oportunidades, e sem recursos não os livraria do julgamento de Easy, afinal tiveram a chance de fazer o bem, por que não o fizeram? Sim é isto mesmo: Easy era um anjo (ou algo abstrato e bem parecido).
Lumière, caméra, (s'inscrire) ACTION
Je m'étais toujours demandé ce que ces gens ont à l'esprit un film qui commence et se termine pas, dis-je, vous même, ou mieux, fait par le milieu, la nature, le processus cinéma ensemble, ou du moins beaucoup, et ne ferme pas le projet. Ici au Brésil nous savons beaucoup de cas comme ça, mais en fait, la plupart liés au confort et même amateur. Il ya bien sûr quelques cas de manque de financement ou de gestion des ressources pauvres comme c'était le cas du film "ennuyeux", qui selon la légende était prêt (bien que personne n'a encore vu) après un long voyage de la mauvaise gestion des ressources publiques, par un travail en mimimi des résultats douteux artistique et commercial, mais apparemment bien intentionné. Dans d'autres cas, c'est le manque de ressources pure et simple, d'autres comme celle-ci en particulier, sont plus comme les vins, ce qui devrait prendre son temps, le temps nécessaire à la maturation et les accents. Bien sûr, il ne se produit pas avec le public, dans ce cas, nous nous chargeons nous-mêmes la consequancias, quoi faire?! Certaines des œuvres d'art (on peut dire) a sa vie propre, hors de notre contrôle. C'est le prix que vous payez lorsque vous recevez un droit d'auteur du film fou, et que va à l'encontre des règles en vigueur dans la société et même dans le milieu cimenatográfico.
Après plusieurs versions des anges dans les films, et à partir de sources d'inspiration, comme Wim Wenders, à Assas du Désir, So Far So Near, voici la figure céleste le plus cruel et tendre dans toute l'histoire de la religion et / ou alternatives: Easy est son nom, elle est accro à la drogue et est vendu dans des ruelles sombres et abandonnés constructions de Lisbonne en échange d'un peu d'argent pour maintenir leur dépendance. Humilié et exploité à l'extrême, fragile et désarmé sa taille est le déclencheur de motivation de l'agression et de dégoût à ses bourreaux (les clients et les résidents du quartier), révélant que chacun a le pire. À ce stade, l'approche (flirter) avec d'autres cinématographique "Dogvile. Qu'est-ce qu'aucun d'entre eux (les clients et amis) aurait pu prévoir que leur misère est le peuple ignorant, pas de possibilités, et les ressources et non de première instance de la librairie facile, finalement eu la chance de faire le bien, pourquoi pas? Oui, cela est-il: Easy a été un ange (ou quelque chose d'abstrait et beau).
Lumière, caméra, (s'inscrire) ACTION
Je m'étais toujours demandé ce que ces gens ont à l'esprit un film qui commence et se termine pas, dis-je, vous même, ou mieux, fait par le milieu, la nature, le processus cinéma ensemble, ou du moins beaucoup, et ne ferme pas le projet. Ici au Brésil nous savons beaucoup de cas comme ça, mais en fait, la plupart liés au confort et même amateur. Il ya bien sûr quelques cas de manque de financement ou de gestion des ressources pauvres comme c'était le cas du film "ennuyeux", qui selon la légende était prêt (bien que personne n'a encore vu) après un long voyage de la mauvaise gestion des ressources publiques, par un travail en mimimi des résultats douteux artistique et commercial, mais apparemment bien intentionné. Dans d'autres cas, c'est le manque de ressources pure et simple, d'autres comme celle-ci en particulier, sont plus comme les vins, ce qui devrait prendre son temps, le temps nécessaire à la maturation et les accents. Bien sûr, il ne se produit pas avec le public, dans ce cas, nous nous chargeons nous-mêmes la consequancias, quoi faire?! Certaines des œuvres d'art (on peut dire) a sa vie propre, hors de notre contrôle. C'est le prix que vous payez lorsque vous recevez un droit d'auteur du film fou, et que va à l'encontre des règles en vigueur dans la société et même dans le milieu cimenatográfico.
Après plusieurs versions des anges dans les films, et à partir de sources d'inspiration, comme Wim Wenders, à Assas du Désir, So Far So Near, voici la figure céleste le plus cruel et tendre dans toute l'histoire de la religion et / ou alternatives: Easy est son nom, elle est accro à la drogue et est vendu dans des ruelles sombres et abandonnés constructions de Lisbonne en échange d'un peu d'argent pour maintenir leur dépendance. Humilié et exploité à l'extrême, fragile et désarmé sa taille est le déclencheur de motivation de l'agression et de dégoût à ses bourreaux (les clients et les résidents du quartier), révélant que chacun a le pire. À ce stade, l'approche (flirter) avec d'autres cinématographique "Dogvile. Qu'est-ce qu'aucun d'entre eux (les clients et amis) aurait pu prévoir que leur misère est le peuple ignorant, pas de possibilités, et les ressources et non de première instance de la librairie facile, finalement eu la chance de faire le bien, pourquoi pas? Oui, cela est-il: Easy a été un ange (ou quelque chose d'abstrait et beau).
Nenhum comentário:
Postar um comentário